Où les ténèbres dominent le monde


 
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 Just Survive From Yesterday

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MessageSujet: Just Survive From Yesterday   Just Survive From Yesterday Icon_minitimeVen 20 Mai - 0:08

C’était comme redécouvrir le monde extérieur pour la première fois depuis des années. Ce ne faisait pas si longtemps quand même, mais assez pour que tout autour d’elle ait l’air nouveau et tellement différent. Elle voyait le tout avec de nouveau yeux, comme si sa renaissance lui avait donné une nouvelle vision de la vie. En faite il serait plus précis de dire que sa renaissance avait effacé son ancienne vision des choses. Elle se souvenait de certaines choses, elle se rappelait grosso modo des personnes qu’elle avait fréquentées, mais le tout était tout de même une expérience électrisante. Ce fut une voiture noire, un lincon, un limousine courte, qui vint la débarqué devant le portail de l’académie. Le soleil d’automne était magnifique. En descendant des la voiture, la portière tenu par le chauffeur elle resta un long moment à contempler le ciel bleu azur. Les yeux grands ouverts alors que sa peau prenait des teintes de miel. Son regard d’un rose persan parcourra tout ce qui l’entourait, comme si tout ce qui était autour d’elle était d’un intérêt démesuré. La jeune femme debout, fini par faire quelques pas en avant permettant ainsi au chauffeur de fermer la portière. La brise était fraiche, en faire tiède, mais elle se l’imaginait fraiche comme le vend d’automne doit l’être. Le soleil sur sa peau était pinçant, elle se l’imaginait chaud et réconfortant et elle fini par sentir la scène. Elle prit une grande inspiration découvrant des arômes chaotiques et pourtant enivrant. Comment avait-elle pu vivre à l’extérieur de ce monde si remplis de merveille pendant elle ne savait combien de temps. Les feuilles colorées des arbres attirèrent son attention alors que le chauffeur venait déposer sa valise à ses côtés pour qu’elle puisse entrer dans l’enceinte de l’établissement. Sa nouvelle vie commençait vraiment et c’était avec un enthousiasme contenue qu’elle attrapa la poigné de sa valise pour la tiré vers l’intérieur de la cour avant, passant les grandes portes de fer noir.

L’uniforme avait changé depuis l’année dernière. Le modèle, mais aussi les tissus. Pour les filles il s’agissait toujours d’une jupette, uni dont une ligne noir large venait tracer le bas de la jupe. La blouse était noir à col haut avec la possibilité d’u mettre un foulard ou une cravate et un veston blanc, coupé en biais dans le même tissus que la jupe. Blanc encore une fois rehaussé de touche de ligne noire à quelque endroit. De long bas noir et les souliers étaient restés les même. D’un pas lent, occupée à scruté tout autour d’elle, elle remarqua l’uniforme masculin, même principe, mais avec un pantalon et les couleurs inversées. Les foulards, cravate restait rouge, au couleur de l’académie. Le regard de la jeune femme se promenait d’un bout à l’autre du paysage donnant sur l’imposante académie de style gothique dont l’architecture faisant pensé aux anciennes cathédrale, fait de pierre donnait l’impression d’être vivante. Pourtant on aurait trouvé cela lugubre, mais elle voyait chaque détail, de la pointe des croix aux vignes grimpant aux murs. La brise soufflant dans les cheveux noirs semi long de la jeune femme la fit tourner la tête vers les arbres s’attardant encore une fois au couleur des feuilles pour la énième fois. Que c’était magnifique, elle pouvait entendre le vent se frayer un chemin à travers les branches en arrachant à celles-ci leur feuillage. La jeune femme ne savait plus où donner de la tête, où regarder, comme s’il y avait trop d’information à traité en même temps. Elle en oubliait même qu’elle était dans un endroit publique et que malgré ses changement les gens allait fort probablement la reconnaitre.

Parlant de changement, il y en avait plusieurs à noté, d’autre plus visible que d’autre, ceux invisible, se trouvant incrusté sous sa peau, recouvrant son dos jusque sur sa nuque était des tatouage, des magnifique dessin en noir et blanc à la fois religieux et moderne avec des jeu d’ombre et de lumières, un chef d’œuvre en soi. Les plus visibles et minime était deux nouveau piercing, dans ses joues et des petits stretch aux oreilles, rien de quoi faire vriller les têtes. Les plus grands changements était surtout au niveau des détailles comme sa démarche, beaucoup plus légère, dansante comme si elle était supporté et légère comme la brise. Sa manière expression de regarder tout ce qui se passe, de percevoir les choses. C’était dans ces minimes détailles que l’on voyait là une toute nouvelle personne, une jeune femme fasciner par la moindre parcelle de terrain l’entourant, tellement passionnée qu’elle ne remarquait ni les bla bla ni les regards, juste l’ensemble de cette beauté ambiante dans laquelle elle se trouvait et cette amalgame d’odeur c’était à vous donner l’eau à la bouche. Exactement comme lorsqu’on passe devant une pâtisserie ou une boulangerie. Mais dans son cas, un environnement grouillant d’humain était encore plus alléchant que le plus réussi de tous les gâteaux. Alors qu’elle respectait avec attention les consigne de sa nouvelle mère, elle devait rester sage, évité les scènes et les drama publique qui impliquerait un bri de mascarade. Ça lui avait prit un moment à comprendre, mais c’était mieux d’écouter Laura, elle avait raison. Même si l’envie de faire un peu de jeu de rôle sanglant lui prenait elle devait bien le laisser de côté pour ne pas faire regretter à sa mère de l’avoir laissé sortir. Après tout ce paysage magnifique valais mille fois mieux que de resté cloîtrer dans uns chambre sans fenêtre.

Ses pas s’enchainé doucement sur le pavé de grosse pierre menant à l’entré principale. Ses pas lents et souvent ralenti par un regard voyageur allant se perdre soit dans le bleu du ciel ou l’oranger des feuille ou encore sur la nuque découverte d’élèves passant un peu trop près d’elle, elle ne remarquais même pas qu’elle était observé. En faite tout le monde était observé ici, surveiller à la loupe par tous et chacun mais dans sa bulle, son monde, elle ne voyait personne. Aucun regard rivé sur elle n’avait attiré son attention, passant ensuite à la contemplation du pavé, elle se remit à marcher en se rappelant des consignes bien stricte de sa mère. Elle ne devait pas faire de scène. Une fois cette idée remémoré elle reprit son pas, son esprit voguant d’une idée à une autre pensant à des diner et à des personnes à des retrouvailles et à des nouvelles connaissances ce n’était pas comme si elle n’aurait pas la chance d’en faire de nouvelle. Ce nouveau look donnait un je ne sais quoi à la jeune femme. Elle resplendissant, brillait, pas littéralement, mais elle était de toute beauté.
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MessageSujet: Re: Just Survive From Yesterday   Just Survive From Yesterday Icon_minitimeDim 22 Mai - 22:51

Vivre de passion n’est pas chose reposante ou froide. Vivre de passion est chose survoltante et bouillante, quand cette passion vous consomme vous bruler intérieurement. Comme le bois vous vous réchauffez jusqu'à complètement vous consumer. La beauté de l’éternité est que la passion ne fini jamais de se consumer. Elle brule et brulera toujours, aussi longtemps qu’il y aura un monde il y aura de la passion. S’il n’y a plus de monde, mais qu’il y a de la vie alors il faut vivre avec passion. C’est peut-être à cause de cette pensé que les toréadors sont des braise ambulante. Brulant et chaud, toujours enflammé par la passion de vivre. D’un point de vu extérieur ils sont tout aussi froid que la glace, mais pour leur frère de sang, ils brulent, la tiédeur n’est pas passionnel. Encore plus chaud que les vrai vivants ils bouillonnent et réussisse à faire s’enflammer les cœurs, même les plus glacés. Réconfortant leur touché ne peut être oubliable, car quand il vous touche ils le font avec passion. Vivre pour vivre n’est pas une possibilité dans ce monde recelant une multitude de merveille. Pouvoir voir à travers la banalité et reconnaitre des chefs d’œuvre dans la simplicité est un don donné à ces êtres passionnés. Qu’ils se fassent appeler débauché ou énergumènes, ils sont ceux qui ont véritablement compris la beauté du monde qui les entours. Les rayons du soleil frappant les feuilles des arbres et dessinant des images au sol, images en mouvements, changeantes et évolutives, pouvant raconter une histoire ou simplement offrir un spectacle délectable pour les yeux. Ces ombres sont ignorés par les être dit doté de la normalité, mais il y a tellement à voir et à ressentir que de simple ombres au sol. Percevoir ces seconds degrés est ce qu’il fait d’eux ce qu’ils sont.

Ce qu’ils sont, ce qu’elle est, belle et distraite absorbé par tout ce qui l’entour, tout ce qu’elle voit, sent et entend. Ces simples petites choses aussi insignifiantes sont pourtant si belle à ses yeux, ses oreilles et son gout. Pourquoi tous la regardent ainsi? Par curiosité, admiration ou moquerie peut-être, qui peu bien entré dans leur tête pour le découvrir, elle pourrait le faire, elle pourrait ouvrir leur crane pour rechercher leur plus profonde pensées. Elle pourrait, mais cela ne marche pas à la manière figuré. Malheureusement la simplicité n’as pas toujours que de bonne répercutions sur ce qui l’entour. Néanmoins, cette perception accrue qui était maintenant elle était complètement obstrué par cet afflux massif d’information et d’images. Alors qu’elle ne prêtait même plus attention aux personnes l’entourant. Complètement absorbé par con environnement de la délicatesse d’un feuille rouge à la robustesse de l’écorce de l’arbre qui la laissé tombé. De la texture si particulière du gazon à celle des pierres du pavé sur lesquelles ses pieds avançaient doucement, à petits pas alors que le temps s’écoulait quand qu’elle ne le remarque ou daigne même s’en préoccuper. Il n’est donc pas vraiment surprenant qu’elle ne remarque ni la porte qui s’ouvrait si la silhouette qui en sortait, ne pouvant reconnaitre sa forme ou sa taille. Ni même sa couleur à son odeur. Le vent, bien malin vilain compagnon qui, soufflant dans le dos de la jeune femme, éloignait cette odeur dont elle se serait très certainement souvenu et qui honnêtement lui manquait. Ses yeux rivé sur le sol à observé de la forme et de la grosseur des pavé sur lesquels elle allait marcher occupa la totalité de son attention jusqu’à ce que son regard se pose sur une pair de pieds en mouvement ver elle.

Sa surprise fut palpable quand ses yeux remontèrent des pieds aux jambes au ventre au coup et at yeux de la personne qui marchait vers elle. Elle le regarda de son regard magenta, un regard brillant et illuminé par une joie inconsommable. Cette silhouette qui lui était connu lui avait même adressé la parole lui faisant la remarque comme quoi cette dernière avait l’air en forme. Un sourire se dessina alors sur ses lèvres. Elle le reconnaissait bien là complètement mauvais en ce qui concernait l’interaction humaine ou la manière d’aborder les gens. Pourtant c’était des salutations plutôt classique rien de bluffant ou de malaisant ou même de malsain, un simple commentaire classique. Mais ce n’était pas de cette manière que la jeune femme au regard rose pétillant aurait voulu des faire aborder, surtout pas quand c’était ce jeune homme à la chevelure ténébreuse qui l’abordait. Sa main tenant toujours sa valise la libéra et d’un bon, puis de deux comme un ballerine elle lui donna les salutations qu’elle aurait voulu. Donner ce que vous voulez recevoir. Elle aurait vouloir bien plus, mais comme l’avait dit Laura elle ne devait pas abuser de ces capacités qu’elle avait maintenant ou même de sa manière de penser un peu spontané. Suite à ses deux bon, elle colla la pointe de ses soulier à celle du jeune homme en se hissant sur la pointe de ses pieds. Haussant doucement les mains pour déposer ses paumes chaudes sur les joues blanches de celui dont elle ne se souvenait plus pourquoi elle lui en avait voulu. Dans ce même mouvement très fluide elle alla chercher de ses lèvres les siennes lui donnant un baiser de passion et de spontanéité. Comme seule elle pouvait le faire appuyant doucement don corps contre celui tiède du jeune homme aux yeux sanguins.

Le baiser fut rompue avec douceur alors qu’elle reprenait appuis sur la plante de ses pieds ouvrant ses yeux rose pour regarde ce visage qu’elle tenait toujours entre ses petit doigts chaud, le caressant légèrement, comme pour s’assurer de sa forme et de sa présence. Le regard éblouis elle ne le lâcha pas des yeux lorsque sur un ton doux et pourtant fébrile elle dit de sa voix de soprano…

-Jeremiah! Tu m’as tellement manqué!

Il lui avait manquer, sa présence sa mauvaise humeur, tout son être depuis qu’elle l’avait reconnu à la réunion. Ensuite tout c’était mis à lui manquer, la vie l’air et la simple liberté. Le regarder ainsi, le toucher être si près de lui, pouvoir lui gouter elle en avait parler elle l’avait souhaiter. Ne remarquant même pas la réaction des témoins de la scène qui certains avec des téléphone cellulaire prenait des photos. Même si Le beau et grand jeune homme qu’elle avait embrassé si soudainement n’était pas un parjure, il restait tout de même Jeremiah Drysdale et elle Karmina Lolth. Malgré tout quand la flamme du toréador brule il faut plus qu’un saut glacé pour l’éteindre. Malgré ce moment de démonstration affectivement en publique, elle ne pouvait pas se cacher qu’il y avait un truc qui la chicotait. Elle se souvenait de beaucoup plus maintenant, mais pas de tout. Aussi idiot que cela puisse lui paraître elle l’avait quitté, alors qu’elle montrait en ce moment tout le contraire de son vouloir de rupture. Ne se souvenant tout simplement pas pourquoi elle l’avait laissé. C’était une certaine curiosité malsaine, mais de sentir sa présence près d’elle lui enleva jusqu’à l’idée de demander la raison de sa décision stupide.

-J’ai fais une erreur!

Dit-elle d’un ton doux glissant l’un de ses main sur sa jour à son cou, à sa clavicule, à son torse, la suivant des yeux. Arrêtant elle remonta son regard rose étincelant vers celui rouge carmine du grand jeune homme. Des yeux magnifique pensa t’elle à quel point il était rouge, comme le sang, comme ce destin qui les unissait pour l’éternité, cette peau blanche cette carrure imposante, ces cheveux noir et cet air sévère elle se rappelait de lui, de son être dans les moindre détails. Aussi exagéré cela puisse paraître dans un lieu public elle trouvait cela des plus normal et adapté à la situation.
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MessageSujet: Re: Just Survive From Yesterday   Just Survive From Yesterday Icon_minitimeMar 24 Mai - 19:34

Cette peau, cette douceur tellement dure, elle en avait rêvé pendant elle ne savait plus combien de temps, elle l’avait souhaité dans ses bras tellement de fois. La tiédeur de sa peau n’était pas comme celle de tous les autre c’était la sienne c’était celle de celui qui lui faisait tourner la tête. Sa tiédeur aurait du lui paraître ennuyeuse et au lieu de cela elle lui paraissait enivrante. Tout son être était tellement parfait, de ses lèvres à sa carrure elle ne pouvait lui trouver des défauts à l’instant. Même son mauvais caractère son attitude méfiante et associal envers la société lui était complètement égale, comment aurait-elle pu s’accroché à ses petits défauts qui pour elle était des qualités qui le qualifiaient comme unique. Elle n’était pas certaine de se souvenir pourquoi il était comme ça, elle se souvenait que cela remontait à son enfance, mais la raison exacte de la source de son caractère lui échappait encore, elle finirait probablement par s’en souvenir, comme de tout le reste comme de lui tout entier. Elle se demandait encore comment elle avait fait pour l’oublier alors que maintenant qu’il se tenait devant elle, elle se disait simplement que l’idée de le quitter était complètement insensé que sans lui comment pourrait-elle profiter de son éternité. Elle avait du être tellement sotte pour penser qu’elle pouvait être plus heureuse sans lui, que son regard rouge ne lui manquerait pas. Elle avait du être terriblement horrible, comment avait-elle pu penser une chose aussi horrible et complètement absurde. Alors que de tout son être qui se tenait face à elle, elle le désirait comme jamais. Ses défauts et ses qualités, son caractère explosif et ses manies de prude, elle les reconnaissait comme les choses les plus merveilleuses du monde en ce moment précis, où elle se tenait devant lui.

Ces plus merveilleuses choses au monde chez lui attrapèrent ses main, l’une déposé sur son torse et l’autre encore sur sa joues, la caressant doucement, elle avait son visage complètement livide, comme si elle venait de voir un fantôme, quelque chose de complètement impensable. Alors que ses mots résonnaient encore dans son esprit. Ses mots qu’il avait prononcé avec un ton de voix qu’elle ne fut pas en mesure de comprendre, comme s’il y croyait. Comment pouvait-il croire une chose aussi impensable, comment pouvait-il croire qu’elle avait eut raison. Comme si ce qu’elle avait fait avait été justifié et qu’elle avait prit la bonne décision. Mais elle le savait, elle ne prenait jamais la bonne décision, il lui disait toujours, elle était stupide et agissait sans réfléchir sans penser au conséquences que pouvaient avoir ses actions ou ses décisions spontané. Elle venait de le démontré une fois de plus. Elle ne pouvait pas avoir raison, elle n’avait jamais raison, elle ne faisait jamais les choses correctement, pourquoi alors lui disait-elle qu’elle avait fait le bon choix. C’était complètement insensé. Elle resta totalement immobile à le regard, l’expression complètement livide presqu’apeurer par ce qu’il venait de lui dire, ses yeux rose éteint, mais animé par une incompréhension palpable, elle ne voulait pas entendre ça, comment pouvait-il lui dire ça. Elle ne réagit pas à ses mains qui se faisait retirer de sur sa peau tiède alors qu’elle tentait de chercher dans ses yeux la réponse à son incompréhension à sa peur au pourquoi il lui disait ça. Ce n’était pas possible. Il ne pouvait pas vouloir ça lui aussi, il ne pouvait pas être comme tout ceux qui disait « je t’aime » pour ensuite tourner les talons et changer d’idée. Il n’avait pas le droit.
Dire qu’elle ne prêta pas attention à son deuxième commentaire aurait été faux, en faite, elle ne l’entendit même pas. Tout ce qu’elle entendait était sa première réplique jouant en boucle dans sa tête alors que doucement ses mains se faisaient repousser. La douceur avec laquelle il fit ce geste lui paru comme une gifle en plein visage, comme si c’était le geste le plus violent qu’elle n’avait jamais subit. Alors qu’il relâchait ses mains avec un soupir elle se réveilla enfin, ses yeux suppliant d’incompréhension. Elle rattrapa ses mains des sienne les serrant entre ses petits doigts semblant tellement délicat.

-Non! Je ne peux pas avoir raison! Je n’ai jamais raison!

Dit-elle d’une voix suppliante, comme si la totalité de son incompréhension et de sa peine venait de passer à travers ses simples mots. Ses yeux, sa voix tout son langage corporel transmettait ses émotions. Ce n’était pas à proprement dit explicite et elle n’avait pas crié lui disant cela avec une petite voix, mais il y avait quelque chose d’autre. Son regard, son expression la manière dont elle tenait ses mains, tout chez elle transmettait son désaccord, comment pouvait-il dire cela, elle ne le comprenait pas encore. Comme si un énorme blocage mental dans son esprit lui empêchait d’accéder à ce qu’elle devait comprendre. Le fait qu’elle ne se souvienne plus du pourquoi elle avait fait ça surement. Malgré tout elle ne pouvait pas avoir une bonne raison, elle n’avait jamais de bonne raison, il ne pouvait pas lui dire comme cela qu’elle avait raison alors que c’était tout simplement impensable de dire une chose aussi horrible à la personne que l’on aime. Elle resserra ses mains chaudes, brulantes sur celle du jeune homme. Ce n’était plus de la fièvre, elle devenait de plus en plus chaude. Alors que normalement cette chaleur devait être apaisante, il devenait possible de sentir tout son désespoir à travers cette simple chaleur.

Désespoir, ce mot est fort, mais il n’y a jamais de mot assez fort pour décrire les émotions des toréador. Alors qu’elle se rappelait en entendant sourdement la voix de leur mère en arrière plan dans sa tête, lui rappelant de ne pas faire de scène, elle se mordit la lèvre inférieur, son regard rose tombant au niveau de leur mains alors qu’elle avait vraiment envi de pleurer. Mais ce rappel sonna plus comme un ordre à son esprit et elle se tu, fixant ses mains qui tenait les siennes et non pas le contraire. La vision de ce petit détail la frappa en plein cœur il ne pouvait pas lui dire qu’elle avait raison. Son regard remonta jusqu’à son visage, si elle avait oublié certaine chose peut-être que lui aussi, mais il ne pouvait pas avoir oublié qu’il l’aimait. Jamais, il ne pouvait pas avoir oublié cette passion qui les unissait.

-Tu m’as dit que tu m’aimais.

Dit-elle doucement, comme un murmure pour lui rappeler, pour lui remettre à l’esprit ses mots qui avaient franchis ses lèvres, il ne pouvait pas avoir oublié, comme cela. Et Jeremiah Drysdale ne pouvait pas changer d’idée sur ce genre de chose. Cette idée ne se faisait tout simplement pas validé dans son cerveau qui immergé sous les émotions avait de la difficulté à fonctionner. Comment penser alors que l’on sens à 100 milles à l’heure ce qui s’en vient.
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MessageSujet: Re: Just Survive From Yesterday   Just Survive From Yesterday Icon_minitimeMar 24 Mai - 22:22

Non, non, pourquoi, pourquoi, il n’avait pas le droit, il ne pouvait pas. Ainsi terminer cette histoire qui était la leur, la laisser mourir comme ça aussi facilement pour une connerie dont elle ne se souvenait même pas, pour un oui ou pour un non. Pour un truc qui devait être assez insignifiant pour qu’elle l’oubli. Sinon comment aurait-elle put oublier la raison qui l’avait poussé à le laissé. Elle n’aurait pas du, mais à quoi avait-elle bien pu penser, pourquoi avait-elle fait une stupidité aussi monumental alors qu’il était tout ce qu’elle désirait. Ne fait pas de scène lolth, tu le sais, mère te la dit bien clairement. Ne fait pas de scène et calme toi, respire pour tenter de te calmer. Mais chaque bouffé d’air qui entrait dans ses narine lui apportait son odeur à lui. La sienne si douce si ensorcelante. Elle serra les dents. Se répétant qu’elle était stupide, tellement stupide, elle ne pouvait pas l’accepter, elle ne pouvait même pas imaginer ce qu’elle pourrait faire sans lui. S’il n’était pas là qui pourrait veiller sur elle, la surveiller, qui serait là pour l’embrassé et la traiter de chochotte ou de danger public. Personne ne pourrait prendre sa place, rien ni personne ne pourrait le remplacé, un énorme trou se forma dans sa poitrine alors qu’elle se rendait compte qu’elle lui avait littéralement donner une partie d’elle-même. Cette sensation lui fut tout particulièrement désagréable. Alors qu’elle se retenait, qu’elle se répétait de ne pas faire de scène qu’elle tentait de se remémoré le pourquoi, la raison qui l’avait poussé à commettre cette stupidité qui apparemment était impardonnable. Elle ne pouvait pas avoir été stupide au point de lui donner envie de tout balancer par la fenêtre, elle e pouvait pas avoir faire en sorte qu’il ne l’aime plus.

Quand il avoua qu’il lui avait effectivement dit qu’il l’aimait, elle le toisa complètement perdue dans son résonnement illogique de ses penser chamboulées par ses émotion instable de nouvelle vampire qui se précipitait et se bousculaient dans son crane. Elle ne comprenait pas. Son regard rose brillant comme si elle allait pleurer le fixa alors qu’il lui faisait par de la deuxième partie du récit. Elle lui avait dit qu’elle le détestait? Non, impossible, elle n’avait pas put lui dire une chose pareille quand ce n’était pas le cas quand c’était tout le contraire. Quad l’amour frôle la folie on peut l’appeler haine, mais ce n’était pas comme ça dans leur cas. Il était la totalité de son être, elle le sentait, elle avait besoin de lui, il ne pouvait pas lui dire cela, il ne pouvait pas se défaire de ses mains, alors que paralyser sur place elle ne tenta même pas de les récupérer. Sous le choc de son annonce ce devait être faux. C’était impensable, improbable, impossible et totalement absurde. C’est alors que ses yeux rouge se plongèrent dans les sien, sévère froid, comme si elle le sentait la geler sur place. Alors qu’il lui disait simplement et officiellement que c’était fini. Elle sentit ses jambes cédées sous son poids, mais ne tomba pas. Elle sentit tout son être qui s’effondrait au sol comme une masse lourde et inerte alors qu’elle n’avait pas bougée. Alors qu’elle était toujours debout se tenant devant lui les yeux river sur les sien, il ne partait pas, il restait là même après lui avoir dit cela. Il ne le pensait pas, il lui faisait regretter de l’avoir oublié, c’était une mauvaise, horrible blague, mais elle lui pardonnerait. Elle ne pouvait que le pardonner, mais plus elle le regardait et moins elle croyait à cette blague, son sérieux lui fit baissé les yeux.

-Non … non. Tu ne peux pas dire ça. Je n’ai pas pu dire cela non plus.

Dit-elle d’une voix tremblante alors qu’elle fixait elle ne savait plus quoi cherchant, s’acharnant à chercher la raison pour laquelle cela arrivait, pourquoi c’était comme ça, pourquoi cela arrivait ce n’était pas juste, c’était un mauvais coup du destin c’était encore une fois une merde dont ils devaient se sortir, mais elle ne pouvait pas faire cela seule. Elle ne pouvait pas se sortir de se merdier sans lui, mais alors qu’elle se sentait faiblir et que l’envi de se rouler en boule l’envahi encore plus elle le remarqua, toujours aussi droit, toujours debout toujours sévère et sérieux, toujours inaffecté. Jamais, jamais cela n’aurait du arrivé, elle figé sur place les mains encore lever comme quand elle tenait ses mains à lui, ses mains tièdes, ses mains qu’il avait repris. Il ne voulait donc vraiment plus d’elle ? Il la laissait vraiment. Reprend toi Lolth, dit quelque choses, dit lui quelque chose, tu ne peux pas rester comme ça immobile à fixer le néant. Elle ne pouvait pas, rappelles toi qui tu es, il ne peut pas te laisser. Mais justement, à cette penser elle releva les yeux vers lui, brillant, mais ne pleurant toujours pas. Elle n’arrivait pas à pleurer, pourquoi ne pleurait-elle pas, elle en avait pourtant tellement envie. Faire exploser son cerveau à coup de bat de baseball lui sembla un solution efficace pour lui faire oublier cette douleur qui la tétanisait complètement sur place. Pour lui faire oublier ces mots cruels qui avaient sorti d’entre ses lèvres. Elle ne pouvait plus, non ce n’était pas possible, elle ne voulait pas qui aurait pu vouloir cela.

-Non, ça ne ce peut pas… ça ne peut pas finir…

Elle leva ses mains qui se défigèrent, se déposant sur son torse le suppliant, elle serra les dents ayant envie de hurler, mais elle ne devait pas faire de scène, elle n’avait pas le droit. Elle contenue donc sa voix qui sortie tremblante et suppliante.

-…Je t’aime Jeremiah.

Ces paroles sortir du plus profond de son âme, comme si elle s’ouvrit littéralement à lui. Ses yeux, son expression, elle referma ses mains sur son torse, serrant les points. Ses yeux finirent par ne plus être capable de soutenir les iris rouge et inexpressifs du jeune homme. Elle baissa tout d’abord les yeux, puis la tête appuyant son front contre ses poings déposé sur son torse. Il ne pouvait pas, elle l’aimait, vraiment, il ne pouvait pas la laisser. Pourquoi est-ce que ça se finissait merde, elle ne savait même pas pourquoi. Ça l’enrageait, elle serra les dents sentant la colère mêlé à la profonde tristesse monté en elle.
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MessageSujet: Re: Just Survive From Yesterday   Just Survive From Yesterday Icon_minitimeMar 31 Mai - 22:45

Impossible, jamais, impensable, il était hors de question d’accepter ça de seulement y penser comme quelque chose qui se pouvait possible. Hors de question, hors de question, elle se le répétait constamment, en boucle sans pour autant qu’un son veuille sortir d’entre ses lèvre légèrement ouverte alors que ses dents étaient serrés jusqu’à en être un peu douloureux. C’était seulement une chose qu’elle ne pouvait pas accepter. Alors que tout semblait s’effondrer sous ses pieds il était impensable qu’en ouvrant les yeux de nouveau tout se révèle à elle comme cet enfer dans lequel elle semblait plonger par sa faute. Il ne pouvait pas être sérieux c’était simplement et irréfutablement impensable et inaccessible. Comme accepter que celui pour lequel vous donneriez votre vie, votre éternité, votre sang, votre être tout entier puisse vous rejeter de la sorte. La sensation d’avoir une simple histoire ne s’appliquait pas ici, non ce n’était pas la même chose, ce n’était pas comme ces amourettes de collégiennes. Il y avait autre chose entre eux, quelque chose de beaucoup plus fort, il y avait une passion indéniable et un passé, un putain de passé qui semblait lui échapper, encore, mais sans qu’elle ne sache pourquoi. Comme si son cerveau se fermait simplement alors qu’elle aurait tellement voulu comprendre pourquoi il lui tournait le dos de cette manière si froide comme s’il ne ressentait plus rien. Alors qu’elle, sa tête semblait être sur le point de tout simplement exploser sous la surcharge d’émotions. Comment était-elle supposé gérer cette situation alors que tout son être avait simplement envie de tout cassé autour d’elle en hurlant comme quoi cette situation était impossible et inacceptable. Pas besoin de dire que la raison pourquoi elle tenait ses poings et ses dents aussi serré était pour cette simple raison, ne pas faire de scène. Cette phrase aussi se répétait en boucle dans son esprit.

Alors que deux mains tièdes la repoussaient dans un mouvement qu’elle trouva violent. Pas nécessairement dans le mouvement en soi, mais l’intention derrière, l’éloignée de lui. Cruelle c’était cruel. Elle n’était pas dans son état normal? Mais elle ne s’était pas senti aussi bien que quand elle l’a avait aperçu, avant qu’il ne lui dise ces horreurs. Des horreurs qu’elle n’aurait jamais du entendre, il n’aurait jamais du lui dire ce genre de chose, pourquoi lui disait-il des choses aussi terrible et ensuite l’accusait-elle de ne pas être dans son état normal. C’était injuste, c’était lui qui n’était pas dans son état normal, normalement il aurait simplement du lui dire qu’il n’aimait pas les démonstrations d’affection en public. Pas lui dire que leur relation était fini. Non il n’avait pas pu lui dire ça sérieusement. Mais pourquoi quand elle le regarda alors qu’il la repoussait violement avec un regard froid, elle eut encore plus envie de hurler et de tout cassé. Il ne faisait aucun geste violent physiquement, mais pour elle, dans son ressenti il la repoussait littéralement au sol, comme s’il lui assénait des coups de pied pour la tenir loin de lui avec ce regard froid et sévère. Comment pouvait-il oser lui dire que si elle se souvenait elle comprendrait, c’était complètement absurde et ridicule. Quelques petites stupidité du passer ne pouvait pas tout changer c’était absurde complètement absurde pourquoi était-il si cruel comme cela sorti de nul part. Pour quoi réagir de cette manière alors que tout ce qu’elle voulait était le serrer dans ses bras et l’embrasser tendrement. C’était ce qu’elle voulait quand elle l’avait vu, là elle aurait simplement tout cassé autour d’elle pour quoi elle entendait des rire ce n’était pas drôle, pas drôle du tout.

Alors que ses yeux se tournèrent pour se diriger vers les élèves qui observaient la scène avard de plus de potin elle devint nerveuse, très nerveuse, ils riaient tous d’elle. Ils ne pouvaient pas rirent d’elle, elle savait qui elle était, mais par dessus tout, cette scène n’était pas drôle. C’était tout sauf drôle c’était dramatique. Comme si tous riait sur des amplificateurs elle ne compris qu’à moitié ce que Jeremiah lui dit a propos de sa chambre. Il ne serait pas avec elle, il la laisserait toute seule dans sa chambre? Dormir toute seule dans une chambre vide? Alors qu’elle avait l’impression que cette chambre était une prison sans lui. Non, elle ne voulait pas qu’il s’en allé en plus de sa chambre, s’il restait avec elle, elle pourrait le résonner lui faire comprendre que ce n’était qu’une mauvaise passe que tout allait s’arranger. Rien n’est permanent dans la vie tout peut s’arranger n’est-ce pas. Elle était définitivement nerveuse, tout dans son langage corporelle le montrait, son expression, comme un animal traqué. Mais qu’avaient-ils tous à rire aussi fort, pourquoi se moquaient-ils tous d’elle? Son malheur n’était pas drôle! Ce n’était pas drôle. Son regard se retourna de nouveau vers les étudiants présents lors de la scène et vers les nouveaux arrivants. Ce n’était pas une scène qu’une comédie, pas une émission de téléréalité pourquoi ils l’observaient-ils tous de la sorte. Qu’ils arrêtent, qu’ils arrêtent immédiatement elle allait les faire arrêter de la regarder, elle allait leur arracher les yeux à tous, autant qu’il soit alors qu’elle n’entendait que les rires comme au ralenti alors qu’elle les voyait tous se marrer comme des ombres vils et démoniaque elle n’avait en tête que l’envi de tout les rendre aveugle de tous leur arracher les yeux violement. Les passant les uns après les autres comme dans une scène de film d’horreur.

Elle Bondit, sur le plus près, en hurlant de rage en lui criant d’arrêter de rire plantant deux de ses doigts avec ses ongle devenue griffe acéré lui crevant les yeux alors que son rire devait un hurlement retirant sa main maintenant recouverte de sang elle attrapa sa copine avec son cellulaire en main. Son expression avait changé cette pétasse ne riait plus elle avait peur. Et elle n’avait encore rien vu elle ne verrait d’ailleurs plus rien. Elle attrapa son poignet lui cassant sous la force du coup avec lequel elle la tira vers elle pour lui enfoncé son poing qui lui renfonça le visage expulsant une giclé de sang dans le visage de la vampire aux yeux rose devenus rouges. D’un coup alors que les rires moqueurs c’étaient changés en cris de terreur elle en attrapant un autre beaucoup plus rapide que tous ces déchets humains, elle allait tous se les faire les uns après les autres. Elle ne pleurait plus, mais riait. C’est drôle n’est-ce pas, c’est tellement drôle! La souffrance et la douleur des autres est une comédie tellement marrante de notre société! Se répétait-elle alors qu’elle les mutilait les un après les autres alors qu’elle leur crevait les yeux, leur arrachait la langue alors que le rouge recouvrait doucement l’orangé des feuilles d’automne. Ce putain de carrelage ces pierres si palpitantes entre lesquelles le sang trouvait rivière. Le paysage était beaucoup plus beau teinté de rouge. Il en restait combien encore encor elle voulait en avoir plus. Rire, rire encore alors que le prochain elle allait simplement lui arracher la tête elle allait l’attraper et lui détache cette tête tellement inutile de ce corps futile. Mais elle se retourna brusquement alors qu’une ombre passa à côté d’elle.

Elle cligna plusieurs fois des yeux, ses yeux devenues rouges qui reprirent leur teinte rosé alors que Jeremiah allait attrapa sa valise en lui disant de la suivre. Elle tourna la tête pour tous les voir encore en train de rigoler. Elle n’avait pas bougé. Et encore une fois la voix de Laura résonna dans son crane “ne fait pas de scène”. Elle devait se contenir, ne pas faire de scène en public. Elle devait être une bonne fille et écouté ce que Laura l’avait prié de ne pas faire. Mais alors que Jeremiah lui disait de la suivre en prenant sa valise, ses choses, elle resta planté à le regarder, tous ce qu’il venait de lui dire lui revinrent à l’esprit et elle resta là. Inacceptable c’était tout simplement inacceptable. Elle ne voulait pas. Il ne pouvait pas tout faire finir comme ça. Aussi banalement. Il ne pouvait pas la privé de sa présence, elle l’aimait, elle l’aimait, il était à elle, elle était à lui. Elle resta tout simplement planter sur place tout à coup prise de tremblement, serra les poings. Serrant ses dents, ses canines apparentes, ses yeux redevenant rouge, c’était hors de question.

-Non! NON!

Dit-elle d’un ton comme si elle allait vraiment pleurer d’un ton tremblant et pourtant ferme. Elle refusait, elle refusait que tout se termine comme ça c’était tout simplement inacceptable. Elle fit quelques pas vers l’arrière doucement en répétant “non” Comme si elle était tout simplement effrayer, mais il y avait autre chose dans son regard qui voulait dire beaucoup plus que cela. Elle avait autre chose en tête. Ce regard rouge la simple présence de ses canines, les tremblements. Elle ne devait pas faire de scène.... pas avec des témoins du moins. Puis d’un coup après avoir affirmé fort “NON!!”, elle prit ses jambes à son cou en repartant d’où elle était venue. Se dirigeant vers la ville il était hors de question qu’elle accepte cela sans rien faire, non elle ne pouvait pas. Il n’avait pas le droit....
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