Il la gonflait sérieusement de quoi la faire sortir de ses gons. Elle allait lui en faire lui la sainte paix. Ce n’était surement pas avec la sainte paix qu’il pouvait profité comme elle pouvait le faire profité, il ne fallait pas rêver non plus. Honnêtement, elle le savait et il le savait lui aussi, il n’avait aucune bonne raison pour justifier leur séparation, aucune. Il ne voulait pas en parler parce qu’il n’avait rien à dire. C’était ce qu’il lui répétait sans cesse, effectivement, mais c’était à ce point littéral. Il n’avait aucune manière de justifier ça qu’un orgueil débile mal placé, elle allait lui en faire un orgueil mal placé. On ne larguait pas Karmina Lolth en s’en sortant sans une égratignure ou sans scène. Si elle devait détruire une partie de l’école pour lui faire entendre raison elle n’hésiterait même pas à le faire, mais elle n’allait pas le laisser filer de la sorte. Lui faire entendre raison, si elle devait le faire avec des moyens aussi vulgaires que de parler de sexe, elle allait le faire sans hésité. Après tout, il avait beau être un vampire, ouais les vampire peuvent mettre de côté leur désir primaire comme l’envie sexuelle, mais quand on est aussi nouveau on ne peux pas s’enlever ça de la tête aussi facilement. Elle n’était pas née de la dernière pluie, elle avait beau en avoir oublié des morceaux c’était le genre de chose qui ne s’oubliait pas. Ha! Et elle allait s’en souvenir pour l’éternité et elle lui remettrait sous le nez jusqu’à ce qu’il cède, il ne s’en tirerait pas aussi facilement, ça non personne ne s’accroche à un hameçon comme une toréador en peine d’amour. Attention les yeux et surtout les oreilles, vous n’avez encore rien attendue, elle allait lui en lancer des mots et des phrases derrière la tête s’il ne voulait pas la regarder en face.

Parlant de ça il lui tournait littéralement le dos, non, mais monsieur était définitivement devenue imbu de sa personne pour penser qu’il pouvait mettre fin à une conversation qu’elle avait entamé. Il s’empara de la poignée de porte pour l’ouvrir, qu’est-ce qu’il foutait, il lui ouvrait la porte pour la forcer à entré dans son cours pour ensuite se sauver en courant la queue entre les jambes? Et bien non il y entrait littéralement, la vie était décidément trop bien faite car il sembla entrer dans la classe comme pour se débarrasser d’elle alors qu’elle avait un cours elle aussi. Un sourire s’imprima sur les lèvres foncé de la jeune femme aux yeux roses, dévoilant ses dents parfaitement blanches. Quand il entra dans la salle elle remarqua immédiatement les regards qui se dirigeait vers lui, apparemment elle n’était pas là seule à avoir entendu sa dernière réplique, et m=bien ce cher Drysdale devrait devenir humoriste! Il en faisait rire l’assemblé, mais ils étaient loin d’avoir tout entendu, ça allait être un véritable massacre, littéralement, alors que la bête prévoyait son plan en le regardant pénétrer dans la salle se diriger vers malheureusement la dernière table de libre dans le fond milieu de la classe. Karmina Entra d’un pas affirmé avec un sourire malin au lèvres et jeta un œil à sa droite où à un tabouret était assise une apparemment prof. Elle haussa un sourcil et rigola un moment avant de reporter son attention vers l’arrière de la classe et entré à son tour en refermant, claquant, la porte derrière elle. Vous n’avez donc jamais entendu l’expression de ne jamais contredire un toréador? Attention à toi Drysdale, les plus petites sont les plus dangereuses!

D’un pas assuré, une main sur la hanche elle emboita le pas au jeune homme, contrastant avec lui de tout les point, autant par sa petite taille, sa peau basané contre la peau blanche du jeune homme, son sourire malin assuré et sa posture, jusqu’à la couleur de l’uniforme des filles, blanc, contrairement à celui des étudiants masculin, noir. Seuls leur cheveux était semblable, bien que ceux de la jeune femme soit d’un noir teinté de pourpre. Elle lança des regards aux autres étudiants comme seule Karmina Lolth pouvait le faire. Puis d’un coup arriver en arrière, à la même table que Jeremiah retira son sac et le déposa sur la surface plane dans un BAM bruyant. Sans bougé elle resta un moment planté debout à côté de la table et le regarda et même s’il y avait un certain retard à la réplique de ce dernier, elle décida de lui répondre. Après tout elle n’était pas pour lui laisser tout le mérite de lui avoir fait crier son nom et d’avoir réveiller un étage. Elle fronça les sourcils d’un air malin et avec son sourire lui répondit d’un voix assez basse, mais assez forte pour que les personnes autour entendre…

-Ouais, fallait bien que je monte le ton, tu m’enterrais!

Puis sans demander son du elle prit place au banc libre sans en rajouter plus qu’il ne fallait. Après tout c’était déjà assez pour le moment. Elle ne lui jeta pas d’autre coup d’œil préférant se concentrer sur la apparemment nouvelle prof en avant de la classe qui tenait un paquet de copies? C’était quoi ça ? un genre de test surprise qu’il fond au primaire ou dans les écoles public de second rang, complètement puéril. Surtout que le chapitre d’aujourd'hui était supposé être intéressant, cette nouvelle, qui remplaçait le prof parti en burn out, allait vraiment gâché sa début de session. Ce fut dans un soupir d’exaspération qu’elle entama de mettre sur pied un plan de secours contre les prof amateur de remplacement qui se crois pédagogue alors qu’ils n’ont qu’à suivre la cédule pour être efficace.

Quoi? Une dissection c’était une blague, une putain de blague et en plus c’était vraiment ce qui venait de se passé avant qu’ils entre en cours pour se rendre compte de leur retard et de légèrement déranger le cours qui était supposément bien en marche. Enfin bref Karmina eut simplement envie de gerber en entendant le prof parler comme à une bande de jeune préadolescent, décidément celle là était pire que le dernier il n’y avait aucun doute la dessus. Elle avait faire dégager l’autre pour moins que ça avec ses théorie bidon et son refus d’admettre l’erreur alors une petite prof médiocre de pré-maternelle n’allait certainement pas duper toute l’année. Et si elle voulait s’y tenter, elle allait lui faire vivre le pire des enfers. Pas question de gâcher sa dernière année alors qu’elle avait enfin la chance de se diversifier et d’ouvrir ses horizons. Quitte à la remplacé comme prof de chimie, de physique ou de biologie, elle allait tous kicker ces incompétent dehors en leur montrant ce qu’était la vrai science, la vrai médecine, ces doux jours où elle se contentait de mettre leur incompétence sous le nez de ces profs à deux balle était complètement fini. Les petit quiz, les petits jeux de mots, les jolis petits dessins au tableau pour expliqué l’anatomie, on faisait ça au primaire, maintenant il fallait savoir voir plus loin que le bout de son nez, quoi que pour une prof qui ne devait même pas être capable de voir ses pied ce devait être un concept difficile à assimiler. Les théories de décomposition et de mort et de toutes ces histoire débile ce n’était pas de la matière de terminal, on voyait ça en seconde alors elle avait intérêt à lui faire un mauvaise blague avec son chariot de rats mort ambulant.

Et non ce n’était pas une mauvaise blague ils allaient faire de la dissection alors que cette prof ridicule qui parlait un accent énervant d’anglaise inadapté à la société française faisait son petit spectacle d’horreur avec des rats, visiblement mal conservé, dans un formol bas de gamme ou dont la recette chimique avait simplement mal été préparé. C’était cette mise en scène absurde. « Allez mettre vos sarreau » elle allait lui en foutre elle un sarreau, non mais pas question qu’elle joue au croc mort alors que la session était supposé être super intéressante avec des vrai concepts et non pas de la biologie de rat mort en décomposition. Alors que La classe de mouton s’activait en mettant leur sarreau et en ajoutant leur masque parce qu’il était supposé y avoir des bactéries volatile qui se dégagerait lors de la dissection, Mina resta assise à sa place sans bougé les bras croisé avec un regard noir, bouillante. Elle qui n’était déjà pas de bonne humeur en entrant dans ce cours, cette anglaise de paquoti ne faisait décidément rien pour l’aider à lui donner une humeur potable. Elle était assise à sa place alors qu’un rat presque squelettique vint se posé sur sa table devant elle. Travailler, bien, elle allait bien travailler si on lui donnait de la matière en conséquence. Non mais, pour qui on la prenait une idiote qui ne savait pas faire la différence entre un foie et un poumon. Les cours de bio du corps on voyait ça en première. Les enfants savait faire la différence, que ce soit dans un rat ou un corps humain, alors pas question qu’elle touche à cette chose complètement dégoûtante qui reposait devant elle, et qui, sans l’ombre d’un doute, avait été conservé de manière amateur, si elle avait été conservé.

Fulminant depuis un moment elle se leva d’un bon faisant tomber son tabouret par terre. Elle aplatit ses deux main sur la table et toisa la professeure avec arrogance. Pas question, pas question qu’elle endure un autre prof incompétent dans sa matière préféré.

-C’est un blague ?! Ce doit être une putain de blague!

Et voila elle était lancé, elle allait tout péter, elle allait lui faire manger son foutue rat décomposé si elle aimait tant les cadavres que ça. Elle allait lui renfoncé si profondément dans la gorge qu’on n’entendrait plu cet accent ridiculement énerve.

-En plus de ne pas être foutu de parler un français correcte vous n’êtes pas foutue de nous donner un cours de notre niveau ?? C’est quoi cette tentative de cours sur un truc qui n’est même pas dans le programme?

D’un mouvement elle quitta sa place et se planta dans l’allé entre les table en empoigna le ras sur le plateau de métal d’un air dégouté.

-Cette école à de quoi nous offrir de vrai bon sujet de dissection humain et vous nous servez des ras qui on été ramassé sur le bord de la route voila de cela trois jours? En plus en voulant nous faire croire qu’ils ont été trempé dans du formol? Mais bien sur!

Dit-elle d’un ton hautement arrogant et sarcastique sur la fin. Mais La jeune femme au yeux roses n’en avait pas fini Elle lança littéralement au pied de la prof et laissa tombé le contenant métallique de dissection par terre en poursuivant.

-Alors que s’il est bien préparé le formol cesse la décomposition et solidifie les tissus de manière à rendre les « sujets » dans un état stable il coupe donc la production de gaz et de vapeur qui pourrait être nocive.

Elle croisa les bras, ne laissant même pas la chance à la prof de se défendre, elle poursuivit.

-Mais ça vous devriez le savoir … à moins que …. Ha non je vois vous avez surement arrêté vos étude en même temps que votre croissance, pas étonnant que vous nous serviez une cours digne d’élèves de maternel!

Finalement elle s’arrêta, alors que toute la classe la regardait en silence, certain d’accore avec elle, non en faite tout le monde était d’accore avec le cours un peu boboche de dissection de rat, mais il la regardait surtout parce qu’elle venait littéralement d’insulté une prof sans retenue devant toute la classe et sans trop de ménagement … si seulement ils avaient su … Dire qu’avant elle se contentait seulement de mettre les faits sous le nez du prof, la elle lui lançait littéralement à la figure.