Urgh, par envie, mais pas envie du tout d’aller se taper le ménage de sa chambre, c’était juste trop le fouillis, surtout après que cet imbécile ait tout retourné sans dessus dessous. Le pire ce n’était pas son côté de la chambre, mais celui de sa colocataire. Malgré tout, tous ses trucs étaient virés à l’envers quand même. La bourde, la belle grosse bourde quoi. Elle n’avait vraiment, mais vraiment pas le gout de se taper tout le ménage, devoir remettre tout son linge dans ses tiroirs, de refaire son lit, de …. Enfin bref on a compris le principe du fait que tout était à faire. Surtout qu’il fallait aussi réparer la fenêtre qui avait été fracassé pour permettre à ce débile d’entré et de foutre le chaos. Bon elle s’en foutait un peu de la fenêtre, ce n’était pas le froid qui la dérangeait, loin de là, mais c’était chient d’avoir à dealer avec du verre sur le tapis. Elle voulait déjà assez bouffer sa coloc comme ça si en plus elle devait se couper devant elle. Fini de la petite française flémarde qui passer son temps à, ironiquement, courir les partys. Bon elle aurait pu le faire quand même, en faite une nuit elle était passé proche, ce n’était pas tant la vie de la fille qui lui tenait à cœur, mais plutôt le comment elle allait expliquer sa soudaine disparition et elle n’avait pas envie de nettoyer tout le sang que ça allait faire partout. Parce que oui, elle le reconnaissait, elle bouffait vraiment comme une gamine de deux ans. Elle en mettait partout, mais c’était bien plus immergent comme ça! Bans le sens propre du terme étant donné qu’elle se retrouver couverte de sang de la tête au pied. Au moins caché le corps ce n’était pas difficile.

Bon maintenant que la jeune femme à la chevelure noir violacé s’était débarrassé de son boulet. Littéralement en faite, parce que cet idiot s’était littéralement attaché après elle, Pour une raison qui lui échappait encore. Bon elle avait bien beau se dire qu’il faisait ça pour lui pourrir la vie. Elle ne savait pas il y avait un truc qui semblait pas marché dans le scénario. Mais bon, elle chassa cela de sa tête en la secouant. Bref qu’est-ce que les enfants font quand leur appartement est trop en bordel ou qu’ils n’ont plus rien à manger? Ils vont chez maman. Et c’était exactement ce que la jeune femme au regard fuchsia avait fait. Aller hop chez maman, dès qu’elle était sorti de la chambre du jeun homme qui l’avait libéré de son cauchemar ambulant. Se rendre au manoir lui avait prit un claquement de doigt. Pas besoin de dire que sa spécialité était la vitesse. Pourquoi perdre du temps quand on peu profité de l’éternité à fond à l’heure. La jeune femme s’y était donc rendue avant l’heure du souper des humains. Elle était entrée et n’avait pas vraiment trouvé sa mère. En faite elle s’était un peu perdue dans le manoir. Mais à un moment elle était tombée sur une domestique. Se mettant à poser beaucoup trop de question en même temps elle fini sur un, en faite pas une question, une demande. Elle voulait se changer. Elle n’avait pas envie de resté habillé en uniforme si elle était pour passé la nuit dans un manoir aussi classe. Kamina ne sut pas trop où la dame la guida mais quelle ne fut pas sa surprise quand elle découvrit une chambre grandiose avec tout ce qu’un grosse de riche pouvait rêver dedans, dont une grande armoire avec beaucoup trop de choix.

Savoir exactement ce qui était passé par la tête de la jeune femme quand elle s’était habillé … hum c’était un peu complexe. Vous lui auriez demandé elle n’aurait probablement pas été capable de vous répondre elle-même. Malgré tout le résulta était là. Aussi étonnant que cela puisse être il n’y avait pas que des vieux truc dans cette armoire et en plus tout était à sa taille à croire que ça avait été fait pour elle. La vampire avait passé 2 bonne heure et demi à essayer des vêtements. Des plus moderne au plus anciens au plus osés. Et bon son choix final c’était arrêté sur un haut que l’on pouvait qualifier de plutôt anciennement nouveau. Un corset, bien que ce dernier soit fait pour être porté sous les vêtements comme une guêpière, elle l’avait mis par-dessus, comme on aurait mis un chandail en fait. Et avec ça, la jeune femme qui portait du B avait l’air de porter du c, pour dire à quel point ça vous mettait une poitrine en valeur. M’enfin, comme bas elle avait opté pour un truc un peu plus sobre des pantalons trois quart, ajusté noir. Bon elle s’amusait surtout en faite. Elle avait trouvé le corset noir de toute beauté et l’avait agencé avec une pièce plus sobre pour le mettre en valeur. Le reste, elle avait remonté ses cheveux avec une broche après laquelle elle accrocha son pendentif du regroupement de sa mère, avec comme effigie un lycoris. La jeune femme était déjà un peu maquilla, du noir sur ses yeux et ses lèvres encore un peu rosé, elle n’en rajouta pas. Elle se chaussa de chaussures à talons haut du style de la renaissance, peu confortable, mais tellement esthétiquement joli que ça valait la peine de souffrir un peu.

C’était suite à son habillage qu’elle était retourner se promener dans le manoir tentant de trouver sa mère pour pouvoir lui dire qu’elle passerait la nuit ici et peut-être plus qu’une si elle n’avait pas l’envie de retourner dormir à sa chambre entre temps. À un moment alors qu’elle arpentait les couloirs avec distraction s’attardant aux détails de l’architecture et de la décoration elle crut entendre un cri. Comme quand une personne est énervée et veut faire sortir la frustration. Intriguée et curieuse la jeune femme se dirigea vers là ou le son était venu. Elle en entendit d’autre ce qui la guida jusqu’à ce qu’un délicieux arôme vienne jusqu’à ses narine, lui chatouillant des cavités olfactives. C’était vraiment délicieux. Tien, elle avait un petit creux tout à coup. Utilisant sa rapidité elle, on pouvait dire, qu’elle apparue littéralement à côté de la jeune femme assise sur le banc en face de l’horloge. Fixant son regard rose tournant sur le rougeâtre sur la délicieuse jeune femme Kamina esquissa un magnifique sourire. Ses yeux courèrent des yeux bleu de la jeune femme jusqu’à ses pieds, s’arrêtant, au retour des pieds à sa cuisse. Oh! Mais alors c’était de la d’où venait les douces effluves. Amenant doucement le bout de ses doigts au genou de l’invitée Karmina s’approcha doucement d’elle, alors que ses doigts remontaient doucement le long de la peau de la cuisse de son interlocutrice.

-Wahhh~ … c’est rare de voir des invitées aussi … délicieuse à la maison …